La poésie et le
poète
Elles passent
Toutes
à la fois
Et
aucune
T’amène
près de moi.
Elles passent…
Laisse-les
passer.
Tant
qu’elles passent
Je
vis pour t’aimer.
Elles passent
Et je
ne sais pourquoi.
Tant
qu’elles passent
Point
je ne te vois.
Je te touche
Avec
un mot,
Avec
mes mains.
Je
t’attends pendant la nuit
Jusqu’au
sourire du matin.
Mais
tu n’es pas là
Et ça
ne me suffit,
Je te
voudrais dans mes bras,
Mes
mains…
Mon
lit.
L’histoire
n’est point complète.
Il
faut encore dire
Que
toi… tu es la poésie
Et
moi, je suis le poète.
Il
faut dire que je t’accueille
Dans
mon cœur.
Ça,
c’est sûr,
Je
t’étreins dans mon âme.
Ça,
c’est l’amour.
jpv